NOTES

 

Cf. A. Pierron (ouvrage cité, p. XXXV) « Si par hasard, en ce temps-là, un homme de bon sens essayait, tant bien que mal, de traduire Eschyle et de ramener l'opinion égarée, on criait bien vite: Au traducteur ! c'est-à-dire, dans l'opinion du siècle: Au sot dupé qui allèche les autres! C'est ce qui est arrivé à Lefranc de Pompignan. Il faut voir comme certain critique le malmène à propos d'Eschyle. Si Diderot signalait la puissance dramatique dont le poète avait fait preuve dans les Euménides, on ne voyait là qu'un paradoxe de plus, à côté de tant d'autres paradoxes. Si Barthélémy parlait autrement que tout le monde, évidemment c'était son métier. Il avait pris, disait-on, l'engagement de ne point penser : il colligeait, il compilait les sottises des anciens. »